Cichero, notre dieu à tous !

Je suis pressé de voir ce que ça donne en vrai !!!

Lensois.com : Gabriel Cichero, que vous inspirent vos premiers pas au RC Lens ?

Je suis très content d’avoir rejoint ce club. Il incarne pour moi, un incontournable en France. Après la Copa America, j’avais décidé de revenir en Europe. A ce titre, même si d’autres formations se sont intéressées à moi, la proposition la plus concrète venait du Racing. J’ai alors de suite compris qu’il ne s’agissait pas de n’importe quel club. Je compare d’ailleurs sa situation à celle de River Plate en Argentine, également relégué en deuxième division. Chaque équipe peut traverser des moments difficiles. Le tout reste de bien gérer ces périodes et réagir. Ensuite, une donnée importante est venue confirmer mes premières impressions. Le coach m’a appelé personnellement. Nous avons discuté et il m’a raconté la confiance qu’il m’accordait. Ce fut un argument de poids.

Vous arrivez avec la réputation d’un défenseur rugueux, qu’en est-il ?

Je suis de culture sud-américaine. Or, chez nous, on est prêt à donner notre vie sur le terrain. Je sais qu’à Lens, le public se trouve toujours derrière son équipe. Je souhaite donc le récompenser. Et de mon expérience en Argentine, j’ai appris à ce propos que quand on donne tout sur le terrain, les supporters pardonnent toujours même en cas de défaite. Après, quand on évoque mon agressivité sur le terrain, il n’est pas question de donner des coups, il s’agit juste d’une attitude à avoir pour montrer que l’on a envie de l’emporter.

« Je m’inscris dans le projet lensois et son futur »

Avec quelles ambitions venaient vous à Lens ?

Je veux être un leader positif sur le terrain. Je ne souhaite pas crier, hurler ou quoi que ce soit mais simplement amener de la confiance. Je désire également soumettre le vécu que j’ai pu acquérir jusqu’à présent aux jeunes du club. J’ai envie d’inculquer cette culture du travail qui permet à chacun de devenir meilleur. En ce sens, mon adaptation au sein du groupe se passe très bien. Le coach met en place un jeu agressif et au sol. Ca me convient parfaitement. On va vite se comprendre.

Vous avez déjà subi un échec en Europe, pensez-vous aujourd’hui pouvoir mieux gérer ?

Je pense qu’il s’agit du meilleur moment pour moi pour tenter de nouveau ce challenge. Quand j’ai débarqué à Lecce, je n’avais que 21 ans et l’Italie venait de remporter la Coupe du Monde. Ce fut donc difficile pour moi, étranger, de m’imposer. Quant à mon épisode en Bulgarie, il n’a pas duré. Je me suis blessé dès le premier match, ce qui m’a éloigné des terrains pour cinq mois. Une expérience à oublier… Désormais, je souhaite aider le RC Lens à retrouver la Ligue 1. J’ai envie de progresser et connaitre la première division en France. Je m’inscris dans le projet lensois et son futur.

« Bollaert mérite des matches de Ligue 1 »

Connaissiez-vous le Racing avant d’y signer ?

Oui car le RC Lens appartient aux grands clubs français. D’ailleurs, à chaque fois que dans mon pays je discutais avec des personnes qui connaissent un peu le foot, ils me citaient Lens comme une référence par rapport à son public et ses infrastructures. Sur ce point, je dois dire que je n’ai pas été déçu. Quand j’ai visité le stade Bollaert, j’ai d’ailleurs pu m’apercevoir de sa grandeur. C’est une belle enceinte qui mérite des matches de Ligue 1.

Après quelques jours au club, vous ne regrettez donc pas votre choix…

Du tout ! Je veux même vite m’imprégner de la culture de la région. Je veux apprendre rapidement le français pour pouvoir m’exprimer avec mes coéquipiers. Pour le moment, on se débrouille en anglais ou en espagnol. Et si besoin, je parle aussi italien et portugais. J’ai également hâte de trouver un logement pour m’installer et pouvoir sereinement me concentrer sur le jeu. Pour le reste, je ne connais pas spécialement les coutumes ou autres, mais je souhaite découvrir votre culture, l’environnement, la région et même Paris. J’ai déjà pu me renseigner auprès de ma sœur qui réside à Londres mais aussi auprès de certains de mes coéquipiers de l’équipe du Venezuela qui évoluent en Belgique. Ils m’ont notamment indiqué qu’il faisait très froid l’hiver ! (sourire)

En tout cas, niveau communication, il assure. Tous les clichés y passent.

Pour quelqu'un qui parle pas un mot de Français, il se démerde pas mal!

lol, il faudrait retrouver l'interview de Guillermo Rodriguez pour comparer !

ça m'étonne il n'a même pas précisé qu'il avait un gros chibre !

8 mois de prison avec sursis requis à l'encontre de Cicero...

Liver' a écrit:8 mois de prison avec sursis requis à l'encontre de Cicero...

oh ? il a détourné combien d'argent public pour avoir une peine aussi lourde ? 10 M€ ? 20 M€ ?

Et surtout interdiction de jouer et de fréquenter les stades durant dix mois...

Au revoir !

Il revient en Aout!

il était pas mal mais pas très carré dans son jeu, Cichero c'est pas carré....

son passage m'aura autant marqué que celui d'aristides rojas

Waterzoi a écrit:il était pas mal mais pas très carré dans son jeu, Cichero c'est pas carré....

Je n'avais pas autant ri depuis...

Ce sketch a le mérite de poser les vraies questions, je comprends qu'il te dérange dans ton confort de petit-bourgeois repu....

enfin, revenons au sujet de départ !

A quoi bon l'avoir recruté, il ne joue jamais !

Walligator a écrit:A quoi bon l'avoir recruté, il ne joue jamais !

encore un choix de Joel Muller ! il est temps qu'il dégage celui-là !

Il me rappelle Bisevac et sa gastro chronique !